C’est fœtus que sortis de ma génitrice j’ai crié : Zapoï !
Zapoï consommant cette vie cul sec a l’instar de ceux qui sirotent
ivre totalement ! Und Tanzen : Tanzen ! Tanzen !
Tanzen ! Comme s’il y en avait d’autres.
Zapoï avec rigueur ! Sans en laisser une seule goutte !
Avec violence et élégance ; Un Brasier de zuperbes uppercuts !
Zapoï vacillant avec la force d’un cyclone, rebondis ma course
Sur musique des doigts qui craquent à l’impact de mon crochet.
Zapoï appuis pour pléthore de droites qui partent tel un torrent
Et mes phalanges lâches qui hachent le vent
Et ces vieilles vanités qui s’envolent.
Zapoï est ce classe éclat souriant sans cesse, ne connaissant soleil ni sommeil
Frénésie sans question qui se précipite avec jouissance six pieds sous terre
Zapoï sans pause avant que la mort s’impose comme seul repos.
2015
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